Des chercheurs l’affirment, nous mangeons l’équivalent d’une carte de banque par semaine. Je suppose que les PFAS sont avec.
Et il vaut mieux ne pas être amateur de crustacés puisqu’ils en seraient les meilleurs transmetteurs. Et le poisson d’élevage n’y échappe pas puisqu’il est nourrit de farines de poisson qui en contiennent beaucoup.
Pour l’eau en bouteille on savait, mais aussi dans les légumes et les fruits qui finiraient par absorber les particules de plastic dispersées dans les champs!
Dès que j’ai le temps, je partagerai une info dans une rubrique que j’ai intitulée Panik! mais ce pourrait être Folies! ou Super!
Changer ses habitudes en la matière peut être très rapide tant au niveau privé que professionnel. Il suffit de le décider et de prendre en compte tout ce qu’on y gagne.
Mais dans beaucoup de cas, éviter le plastic sera choisir des solutions pour un long terme. Marche que le plastic c’est en général le court terme renforcé par des effets de mode.
Mais aussi si cela vous intéresse d’entrer dans la complexité du plastique et de comprendre pourquoi sa production est en train de doubler, écoutez mon podcast préféré celui du journal Le Monde « Chaleur humaine » Merci Nabil Wakim!
https://podcasts.lemonde.fr/chaleur-humaine/202310170500-comment-se-debarrasser-du-plastique
Et nous à Tournai, comment agir. La politique communale intègrera-t-elle cet objectif dans ses pratiques. Le recyclé n’est pas la solution car il contribue quand même à la dispersion des particules de plastic au fil de son utilisation et de son vieillissement.